Culture



La culture grolandaise est détonante. Vivre dans notre présipauté, c’est s’enorgueillir d’un mode de vie unique. D’après les grolandais eux-mêmes, « l’essayer, c’est l’adopter ».
Le « grolandais », appellation qui serait donnée à notre langu, n’est qu’un affreux néologisme. Oui,
Groland possède bien une langue officielle, mais il s’agit du Cmenkonkôz, aussi appelée Iolangkonpôrle ou Nôtpatouhô. Cette dernière est inspirée du français, quoi que bien plus moderne et inventive.
Une célèbre entreprise grolandaise, en la personne de Grossimil, édite des dictionnaires et des manuels d'apprentissage franco-cmenkonkôzeux mais aussi cmenkonko-français. Les jeunes grolandais ont la chance d’y découvrir un apprentissage dense et complet qui leur permet ensuite d’utiliser à bon escient quelques expressions bien de chez nous. 


Liste non exhaustive de quelques poèmes parmi les plus fameux souvent employés sur les terres Grolandaises

« Tempête en décemb', t'en chies en janbier' »

 « Gel en Janbier, froid pour les pieds, gel en juin, oh ben putain ! »

« Lendemain de fouette, caca qui fête  »

« Lendemain de fête, bobo-tê-tête »

« Canon au balcon, barreau au caleçon »


Parmi les spécialités culinaires grolandaises, les plus célèbres sont : l’oreille de porc à la Van Gogh, le saindoux au vin cuit, la poitrine de truie sur canapé de truffes, la langue de dindons à la sauce gingembre, l’épiderme de rat et couilles d'oursins aux amandes, les lentilles-au-pain (Groland promouvait le veganisme bien avant que les vegans n’apparaissent….).


les lentilles-au-pain


Par ailleurs, la présipauté a toujours réussie à se démarquer grâce à une modernité incontestable, ses habitants parvenant à constamment innover.
Il s’agit, par exemple, de la célèbre "tartapulte", créée en hommage à Noël Godin, le roi de l'entartage. Mise en service en 2000, cette infernale machine a été expérimentée à Angoulême où, après un changement de recette de la tarte pour la rendre un peu plus résistante, elle parvient désormais à atteindre des cibles à... 20 mètres de distance.
Il s’agit aussi de l'espiègle "Gerbeuse de Danette". A condition d'utiliser de la crème dessert de couleur claire sur un fond très sombre, elle permet de créer de très jolis tableaux. Comme celui exposé avec l'imposante silhouette du président Salengro.
Quant à lui, le "Bonzaï Garden", notre cimetière, possède un conteneur rose à bébés et de méchantes épitaphes sur le sol : "bon débarras", "ça va ducon" ou encore "vieille salope". Ainsi que sur un "banzaïomètre", appareil qui permet au visiteur de tester sa puissance vocale en hurlant "banzaï", le cri de ralliement de l'émission.


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